Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle: Confinée, Déconfinée (2) !

AVERTISSEMENT
Ce récit apparaitra à certains lecteurs bien « fade », presque banal par rapport à d’autres textes, bien plus « hard », que j’ai publiés pour parler du couple que nous formons, moi, Olga, l’hypersexuelle et Philippe, mon mari candauliste.

Ce récit d’un dimanche candauliste est pourtant important pour nous.

Il symbolise cet équilibre atteint, après bien des épreuves et des dérives, même si ça ne va pas sans difficultés, tant en ce qui concerne mon hypersexualité que dans notre pratique du candaulisme.

Cela s’est déroulé récemment, peu après qu’ait été levée la restriction des 100 kilomètres, liée à la situation sanitaire. C’était la fin d’une longue période d’abstinence, prolongée du fait du confinement et que j’avais vécue d’autant plus douloureusement que c’est à ce moment que se sont aggarvées les tensions entre moi et ma fille aînée, Lucie.

J’ai résumé comment j’avais vécu ce confinement dans le précédent texte « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: confinée, déconfinée (1) ! » paru sur HDS le 10 juillet.

Ayant bien compris combien je vivais mal cette situation de manque, Philippe avait pris les contacts nécessaires et convenu d’un rendez-vous avec Serge, un trentenaire, qui vivait seul depuis que sa femme Annie l’avait quitté.

Je poursuis donc mon récit là où je m’étais arrêtée dans le texte précédent. De façon à faciliter la lecture, je reprends la fin du texte précédent, au moment où nous arrivons chez Serge.

PRISE DE CONTACT

Philippe prévint Serge quelques minutes avant notre arrivée. Sa maison était au bout d’un lotissement, à la sortie d’un village, sans voisin immédiatement à proximité. Nous n’étions pas connus ici mais nous avions toutes les garanties de discrétion.

Serge nous attendait sur le pas de la porte. Philippe ne m’avait pas menti. C’était un bel homme grand, d’allure sportive.

Il portait un jeans serré et un tee-shirt. La distanciation sociale ne nous permettait ni bises, ni poignées de mains.

Sans que nous ayons eu besoin de parler, j’ai vu que Serge me détaillait, qu’il me déshabillait du regard, en connaisseur.

• Bonjour Olga, Philippe et moi avons beaucoup parlé de toi. Il ne m’a pas menti, tu es superbe ! Ne restons pas ici, entrez, nous n’avons que quelques heures devant nous et je sais que Madame est impatiente. Moi aussi, je l’avoue !

Galamment, Serge s’effaça pour que je franchisse la première la porte d’entrée. Il en profita pour poser sa main sur mes fesses :

• Quel cul ! Magnifique !

Son autre main prit aussitôt possession de mes seins. Mes tétons se dressaient et traduisaient d’emblée mon excitation. Je me reculais alors pour me coller bien contre lui. Je sentis alors contre moi son désir, une érection particulièrement prometteuse. Je me frottais contre lui, montrant mon désir. Je mis ma tête sur son épaule. J’avais envie de me retourner, qu’il me serre dans ses bras et prenne possession de mes lèvres. Je me suis abstenue car je savais qu’il ne fallait pas. J’avais envie de ce mâle. Si j’avais pu, je me serais offerte, là, sans attendre davantage.

J’oubliais ces semaines de confinement et la situation difficile avec ma fille. Je ne pensais plus qu’à ces quelques heures de plaisir que j’allais connaitre grâce à Philippe.

Serge se reprit, manifestement pressé de passer aux choses concrètes :

• Allez, on rentre ! On sera mieux à l’intérieur pour faire ce que nous avons à faire!

C’est Philippe que j’ai embrassé amoureusement :

• Merci mon amour pour ce que tu fais pour moi. Il me semble que tu as bien choisi !

• Tu sais que je veux toujours le meilleur pour toi.

Une fois la porte fermée, je me suis retournée vers Serge, en le regardant dans les yeux. Nous n’avions pas besoin de parler pour mesurer notre désir.


J’ai posé la main sur sa braguette, qui était prête à exploser.

• Je vois que je te fais de l’effet ! Chéri tu as en effet bien choisi

• Philippe ne m’a pas menti. Tu es superbe !

Serge nous fit brièvement visiter sa demeure. C’était une maison de plein pied, avec un grand salon et une cuisine américaine. Dans la chambre, le grand lit était déjà défait, en vue de ce que nous avions à faire. A côté du lit, près de la lampe de chevet, il y avait ostensiblement une boîte de préservatifs. Serge était manifestement impatient. Je le voyais à la façon qu’il avait de me déshabiller du regard.

• Avant de passer aux choses sérieuses, allons au salon prendre un verre.

Sur la table basse, il y avait des coupes de champagne et une bouteille de Veuve Cliquot, mon préféré. Même cela, Philippe en avait donc informé celui qu’il avait choisi pour m’honorer.

EFFEUILLAGE ET PRELIMINAIRES

Serge leva son verre :

• Au plaisir d’Olga et merci à toi Philippe de m’offrir ta femme !

• Je ne l’offre pas, car elle est à moi ; je veux seulement qu’elle soit heureuse. J’aime tant la voir jouir, je ne m’en lasse pas.

• Vous êtes un couple très spécial, mais je ne vais pas m’en plaindre ! Ceci dit, nous n’avons que quelques heures devant nous, vous êtes venus pour ça et donc je ne tournerai pas autour du pot. Depuis des semaines, je ne pense qu’à ça : baiser ta femme ! Alors, on y va ?

• Moi aussi je crève d’envie pour ta grosse bite, j’ai envie que tu me démontes. Mais avant, j’ai une question pour vous deux. On ne se connaissait pas, alors comment êtes vous rentrés en contact ?

Serge semblait contrarié, trouvant qu’on perdait un temps précieux :

• On ne peut pas parler de ça après ?

• J’ai envie de savoir à qui j’ai affaire

• Tu ne te rends pas compte à quel point j’ai envie de toi

• Evidement que je le sais et j’aime qu’on me désire.
Allez ça prendra quelques instants. En attendant, je vais me mettre nue, ce sera mon premier cadeau.

J’ai commencé par ouvrir lentement mon chemisier, bouton après bouton. J’ai lancé le chemisier à Philippe.

Serge ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais, semblant apprécier.

• Coquine, tu n’as pas de soutien-gorge !

• J’en mets rarement ! Alors raconte ? Tu aimes ma poitrine ?

Serge se leva du canapé où il était assis et se dirigea vers moi. Ses mains empoignèrent mes seins, ses caresses accentuaient mon excitation.

• Nous ne sommes pas trouvés sur des sites de rencontres. Je suis en contact depuis quelques temps avec Philippe sur les réseaux sociaux mais, en effet, on ne se connaissait pas.

Tout en parlant, Serge s’occupait de mes seins. Il savait y faire. Il était évident que Philippe l’avait bien renseigné sur ce que j’aimais. Je fermais les yeux, c’était si bon.

• On a fini par sympathiser et faire connaissance, virtuellement d’abord. J’avais envie de parler. J’ai parlé à Philippe de qui m’était arrivé il y a quelques mois, ma femme, Annie qui me trompait et m’a quitté pour rejoindre son amant.

• Elle n’était pas satisfaite de toi ? Hum continue, j’aime qu’on s’occupe de mes seins !

• Je sais, Philippe me l’a dit, il m’a tout dit en ce qui te concerne. Annie a rencontré ce type à son travail, un coup de folie, après cinq ans de mariage. Car crois-moi nous étions heureux et tu verras que je sais m’occuper d’une femme

• Philippe, tu t’es confié si facilement à un inconnu ?

• Au fil des conversations j’ai compris que Serge est quelqu’un de bien, que je pouvais lui faire confiance.

• Philippe m’a alors expliqué que vous étiez un couple candauliste. Je ne savais même pas ce que c’était et je lui ai dit que jamais je n’aurais jamais accepté qu’Annie se fasse baiser devant moi par son amant.

Serge interrompit ses confidences et commença à titiller la pointe de chacun de mes seins avec sa langue, avant de les prendre en bouche.
Je n’ai pu retenir un gémissement. Je caressais ses cheveux.

• Oh comme j’aime ça ! Continue !

J’ajoutais : « continue aussi à me raconter comment nous sommes là aujourd’hui »

Il s’interrompait un instant, avant de reprendre de plus belle, alternant paroles et jeux de langue.

• A un moment, Philippe m’a demandé si j’aimerai te rencontrer pour te baiser en sa présence. J’avoue qu’au départ ça m’a surpris, même s’il m’avait parlé de son candaulisme. J’ai réfléchi un peu et je lui ai donné mon accord. Mais ça a mis du temps à se concrétiser. Pas seulement à cause du confinement. Le test Covid qu’il a demandé, c’était la dernière étape, il y en a eu bien d’autres avant.

J’enlevais alors ma jupe rouge. Je m’étais déjà libéré de mes chaussures et je n’avais donc plus que mes bas noirs avec porte-jarretelles et un string blanc.

• Hum tu as de magnifiques jambes et un cul d’enfer. Je le savais déjà, Philippe m’ayant fourni des photos de toi, mais sans le visage.

• Vous avez donc beaucoup parlé de moi, je vois !

• Oui Philippe m’a donné beaucoup de détails à ton sujet. Il n’a rien laissé au hasard. Il voulait aussi avoir la certitude que tu ne serais pas déçue. Il m’a dit : « je veux que ma femme prenne son pied. »

• Je ne suis jamais déçue avec mon chéri. Il sait ce que j’aime. Mais assez parlé maintenant ! Moi aussi j’ai envie !

BOUCHE D’OR

J’ai repoussé Serge vers le canapé, sur lequel il s’est assis. J’ai enlevé mon string, qui était trempé par mon excitation et c’est à lui que je l’ai lancé, donnant ainsi le signal que nous allions passer aux « choses concrètes ».

Je me suis approchée de Serge, assis sur le canapé. Je me suis mise à genoux devant lui. A mon tour, je voulais voir ce que j’avais deviné et que je désirais. J’ai ouvert la fermeture éclair de son pantalon, j’ai défait la ceinture. Je l’ai rapidement débarrassé du pantalon et de son slip, découvrant une belle érection, de lourdes couilles et un gland large.

Je jetais un coup d’œil à Philippe, manière de lui dire ma satisfaction pour son choix.

J’ai commencé à masturber mon amant, tout en le regardant dans les yeux. Informé par Philippe que je recherchais, dans ces moments-là, un mâle, Serge a repris alors les choses en mains, employant un langage que je n’accepte que dans ces circonstances :

• Suce, salope ! Ton mari m’a dit qu’il t’a donnée le surnom qu’on attribuait à Cléopâtre : « bouche d’or » !

• Oui et j’en suis très fière !

Toujours à genoux, j’ai commencé à lécher sa hampe, puis son gland, avant de le prendre en bouche.

Mes lèvres désormais bien serrées autour de la hampe, j’y ai mis toute ma science de la fellation, qui est grande au dire de mes nombreux amants. Malgré la taille de l’engin, je le prenais entièrement en bouche.

Les deux hommes parlaient de ma performance, alors que Serge, prenant ma tête en mains, baisait littéralement ma bouche. Cela me provoquait, malgré mon habitude, des nausées, des larmes me coulaient sur les joues, mais je ne lâchais pas prise. Je sais que Philippe aime me voir dans ce qu’il appelle mes « pompes », la bouche bien remplie par une belle queue.

• Philippe, tu ne m’avais pas menti, c’est une fellatrice exceptionnelle ! Continue, petite garce, bouffe-moi les couilles !

• N’oublie pas ce qu’on a dit : tu ne te vides pas dans sa bouche ! Ca m’est désormais réservé.

• J’aimerais bien, mais je veux me réserver pour la baiser !

J’ai pompé Serge près de dix minutes, prenant soin de ne pas le faire jouir car moi aussi je voulais autre chose.

Sentant sa résistance faiblir, c’est lui qui m’a interrompu, me faisant me relever. Il me prit dans ses bras. Je sentais qu’il se faisait violence, et moi aussi, car nous aurions eu envie à ce moment-là d’un baiser langoureux entre amants. Maudit Covid-19 qui me prive de cela !

Serge me prit par la main et nous nous sommes dirigés vers la chambre, suivis par Philippe, qui s’installa sur le fauteuil que Serge avait préparé pour lui, afin qu’il soit le témoin privilégié de mon plaisir.

PLAISIR

J’aurais aimé être prise tout de suite, mais mon amant voulait montrer que c’était lui qui décidait.

J’implorais :

• Viens s’il te plait ! Saute-moi, je ne peux plus attendre !

Serge voulait encore accroître mon désir. Il m’a fait m’allonger sur le lit, nue, les jambes pendantes jusqu’au sol. Il a caressé mes jambes du bout des lèvres, remontant aux cuisses, puis à l’entrecuisse.

Sa langue s’est mise à frétiller, de plus en plus vite, sur mon clito. Je me suis laissée faire, pensant au plaisir que me donnent par cette caresse aussi bien Philippe qu’Agun. Serge était doué, même s’il ne pouvait égaler dans ce domaine mon mari et encore moins ma femme. Dans l’état d’excitation dans lequel je me trouvais, j’ai pourtant joui une première fois, très vite, très fort.

Serge savait bien entendu par Philippe que je suis multi-orgasmique. Il a continué, a fait à nouveau pénétrer sa langue en moi, m’a embrassé tous les recoins de ma vulve trempée. Au moment où il l’a voulu, Serge s’est agité de telle sorte que je suis à nouveau partie dans un orgasme profond, long et violent.

Il n’en n’avait pas fini avec moi. Philippe lui donna le signal :

- Prends-la ! Baise-la ! Mais n’oublie pas. Protection d’abord.

Serge prit un préservatif et me le tendit. Comprenant ce qu’il voulait, j’ai fait le nécessaire, avec attention, désir et et impatience. Enfin, cela allait se faire. J’ai adressé à Philippe un regard plein de reconnaissance et d’amour, car non seulement il permettait cela, mais il l’organisait.

J’avais tant attendu ce moment. Je voulais que ce mâle me prenne en levrette, ma position préférée, en particulier au niveau d’excitation que j’avais atteint. Je me suis mise à quatre pattes et il s'est placé derrière moi.

Serge a écarté mes lèvres et a positionné son gland contre l'entrée de mon vagin puis s'est emparé fermement de mes hanches.

Il n’a évidemment eu aucune difficulté à me pénétrer. Je n'ai pas pu me retenir de pousser un long gémissement quand il m'a pénétré d'un coup.

• Tu la sens bien, petite putain ?

• Oui, vas-y, mets la moi ! Bien au fond !

Il a commencé à me baiser très fort, sans ménagement. Il savait que c’est ce que je voulais.

Il me pilonnait. Pourtant habituée, je sentais chaque coup de son membre surdimensionné me dilater le vagin. Peut-être la conséquence d’une longue abstinence ?

Serge me cramponnait fermement les hanches et me pénétrait toujours jusqu'aux couilles. Celles-ci tapaient sur mes fesses. Au début je feulais, puis mes gémissements devenaient des cris, des hurlements de plaisir. Je secouais la tête, mon cœur battait si fort dans ma poitrine, à exploser. Je pensais que j’allais mourir de plaisir. C’était fort, presque trop fort.

• Putain, que t’es bonne ! Tu aimes ça ! Et aussi que je te saute devant ton mari !

• Tu me tues, salaud, mais vas-y ! Encore ! Plus fort !

• Tu aimes comme il te baise, chérie ?

• Oui mon amour ! Merci ! ohhh Et toi, je vois que tu aimes toujours autant ça !

Philippe avait sorti sa queue et bandait, sans avoir besoin de se toucher.

• Viens mon Philippe, près de moi, viens me tenir la main, viens m’embrasser pendant que ce type bourre ta femme.

Les caresses de Philippe, ses baisers, accroissaient encore mon plaisir, apportaient cette tendresse et l’amour dont j’avais besoin alors que je me livrais au coït brutal d’un mâle. Ces moments symbolisaient ma double personnalité : à la fois femelle, qui a besoin d’une étreinte bestiale et épouse amoureuse qui ne lasse pas de la tendresse de l’homme qui m’aime et que j'aime,mon mari.

Je sentais le gland écarter mes petites lèvres pour s'enfoncer encore et encore dans mon fourreau jusqu'à la garde.

De ma gorge s'échappa un râle plaintif, alors que mon amant pilonnait ma chatte en de long aller-retour, ses doigts empoignant mes seins puis mes hanches, pour les ramener à lui avec avidité à chaque mouvement de va et vient.

C'était intense et bon. Alors que je miaulais mon plaisir sous ses coups de hanches, je sentais son membre, pourtant bien dur, raidir encore à l'intérieur.

Je ne vais pas mentir. J’aurais aimé, à ce moment-là que mon amant n’ait pas de préservatif et puisse me remplir. Mais je connaissais nos accords avec Philippe, nos lignes rouges et je n’avais pas l’intention d’y déroger.

Sentant un nouvel et ravageur orgasme venir, j’ai demandé à Philippe de venir dans ma bouche, afin de le recevoir au moment où j’avais mon plaisir, façon aussi de lui témoigner ma reconnaissance, pour ce qu’il avait fait et continue à faire pour moi.
La résistance de Serge était particulièrement impressionnante. Il poursuivait sur le même rythme, je n’en pouvais plus, le suppliant de me finir, alors que les orgasmes se succédaient crescendo

Mon Dieu, je n’avais pas été baisée comme ça depuis bien longtemps. Je haletais tellement j’aimais me faire prendre comme ça. Les bourses de Serge tapaient sur mon sexe à chaque mouvement. Je passais une main sous moi et me caressais le clitoris. Je ne tenais presque plus. Serge était au bord de l'explosion. J’aurais aimé le sentir éjaculer en moi. Je le suppliais de continuer, pour m’achever.

Serge claqua d’une main mes fesses. Une vague de feu se propagea sur ma peau alors que l’orgasme se déclenchait. Je n’en pouvais plus. Tout mon corps se contracta, de plus en plus. Je libérais enfin toute l’énergie que je contenais depuis un bon moment et j’ai joui, joui, joui, le visage marqué par le plaisir, embrassant avec fougue Philippe, lui enfonçant mes ongles dans les épaules, le griffant au point de le faire . C’est à ce moment là que Serge est sorti de ma chatte, s’est débarrassé de sa capote et a dirigé sa verge vers moi, m’arrosant copieusement les seins et le visage.

Je ne m’attarderai pas sur le reste de ce dimanche de déconfinement, Serge, ayant retrouvé vigueur grâce à mes talents de fellatrice, remit bien évidemment le couvert. Variant les positions, nous avons encore, forniqué deux heures qui m’ont laissée épuisée de plaisir.. Philippe s’en tint fermement à ses instructions qui interdisaient à mon amant de se vider dans ma bouche, de jouir en moi et même de me sodomiser, toutes choses que mon mari se réserve désormais. Je sais que ces limites ne peuvent être franchies, quand bien même je reconnais que l’envie en a été forte.

NOTRE EQUILIBRE CANDAULISTE

Si j’ai insisté sur cette journée, alors que le candaulisme est pour notre couple une pratique ancienne et fréquente, c’est qu’elle est symbolique de l’équilibre auquel nous sommes désormais parvenus.

Notre candaulisme a désormais ceci de particulier que Philippe ne se contente pas d’être le témoin de mon plaisir ou d’y prendre part. Il est celui qui a tout organisé. Cela se passe parce qu’il l’a voulu, pas parce qu’il le tolère. C’est à lui que je dois ce plaisir dont, hypersexuelle, j’ai toujours besoin.

Pour être claire, je ne remets pas mon sort à Philippe. Je sais seulement que son amour et les épreuves que nous avons traversées me permettent de lui faire confiance pour trouver ce qu’il nous faut, à lui, comme à moi.

C’est bien entendu Serge, par ses coups de boutoir, qui a déchainé mon plaisir. Mais, même dans ces moments-là, c’est à Philippe que je pensais, c’est lui que je regardais et qui je disais des mots d’amour. Avant que nous repartions, autour d’une collation, Serge nous fit d’ailleurs remarquer que, même quand je l’encourageais à y aller plus fort, à me la mettre bien profond, j’accompagnais mes gémissements et mes cris de plaisir par des paroles qui s’adressaient à mon mari candauliste :

• Oui, vas-y ! Oh, Philippe, mon amour, c’est merveilleux. Encore !!! Philippe, je t’aime !!!!

Qu’on ne se méprenne pas : je sais que c’est un autre qui m’envoie en l’air. Philippe ne me baise pas par procuration. C’est par amour qu’il veut me voir heureuse. Il me connait, sait ce dont j’ai besoin, il est heureux de mon plaisir, qu’il a soigneusement organisé et voulu. C’est à Philippe, dans ces moments, à qui j’offre ma jouissance.

Ces moments que je décris sont évidemment des scènes de sexe. Mais ils font partie d’une grande et belle histoire d’amour.

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